Voici un article qui démontre le litre de l'huile sera à 20dh, mais il ne dit pas aussi que c'est voulu par les detenteurs du marché afin d'Ecraser encore plus le consommateur. Rappellez vous la guerre qui a mené Lesieur et compagnie contre "Al Afia" et "Arabi" qui allait faire de la concurrence loyale. Et leur Guerre continue vous n'allez trouver ces marques "Arabi" et Afia" que chez Asswak Assalam et jamais dans les supermarchés de l'ONA
voici l'article de la vie eco:" niveau actuel des cours mondiaux correspond à un prix au détail de 16 DH. Si dans deux mois ce cours se maintient, les producteurs devront impérativement augmenter leurs prix. Selon les prévisions, la hausse se poursuivra. Le litre dépassera les 16 DH dans deux à trois mois.
Après le baril de pétrole, c’est le cours de l’huile qui alimente le débat. Et pour cause, les prix de vente au détail n’arrêtent pas de grimper. De 10 DH en juillet 2007 seulement, le prix du litre d’huile (à base de soja) est passé à une moyenne de 13,50 à 14 DH aujourd’hui. Quatre réajustements de prix en l’espace de sept mois. Et les dernières nouvelles ne sont pas bonnes.
Le cours de l’huile brute à base de soja sur les marchés mondiaux a atteint, depuis quelques jours, le pic de 1 500 dollars la tonne, soit 3 fois le niveau de 2006. Or, à ce niveau de cours, le prix de vente de détail devrait vraisemblablement se situer à 16 DH le litre, selon les estimations d’Ahmed Rahhou, PDG de Lesieur-Cristal et président de l’association des opérateurs du secteur. Pour l’instant, certes, il n’y a pas de réajustement prévu, du moins dans les jours qui viennent, rassure M. Rahhou. Ce dernier explique en effet que les prix de vente pratiqués actuellement sont basés sur un stock d’huiles brutes achetées au mois de décembre 2007. Les sociétés disposant d’un stock leur permettant d’assurer 2 à 3 mois d’approvisionnement, si les cours se maintiennent au niveau actuel et si ajustement il doit y avoir, il ne devrait intervenir que dans 2 à 3 mois avec l’arrivée des nouveaux stocks. Mais on peut déjà pronostiquer que la flambée n’est pas près de s’arrêter.
Ahmed Rahhou explique, à ce titre, que les cours des huiles brutes sont fortement corrélés au prix du baril puisqu’une pression sur le pétrole accélère la conversion des graines oléagineuses dans la production de biocarburants. Or le baril, installé à 100 dollars depuis quelques jours, est encore promis à la hausse dans les semaines voire les mois qui viennent. Ce qui fait dire au patron de Lesieur que le cours des huiles brutes restera certainement sur une tendance haussière.
Le litre d’huile à 16 DH ? C’est probable, même si les producteurs ne commencent à répercuter la hausse actuelle que dans trois mois. D’ailleurs, l’huile de table à base de tournesol, elle, se vend déjà à 16 DH le litre dans le détail, étant donné que les cours des huiles brutes à base de tournesol sont encore plus élevés que ceux des huiles à base de soja. Ils ont dépassé allègrement les 1 700 dollars la tonne en février 2008 contre 650 dollars en février 2007. Pire, certains observateurs prévoient que le prix pourrait se stabiliser vraisemblablement autour de 20 DH le litre.
Du côté des producteurs, on se dit aussi impuissants. Et pour cause, la matière première (l’huile brute) représente plus de 60% du coût de revient. «Même si nous arrivons à compresser nos charges de production, cela ne représente guère plus de 20 centimes le litre, dans le meilleur des cas», explique le patron de Lesieur. Il est vrai qu’en examinant de près la structure des charges des producteurs d’huile de table, il paraît évident que ne pas répercuter une partie des hausses du prix des matières premières mettrait en danger leur rentabilité voire leur viabilité. L’enquête réalisée par les équipes de l’autorité de la concurrence en 2007 avait en effet révélé que la marge par litre réalisée par les producteurs (en 2005 et 2006) ne dépassait guère les 21 centimes dans le meilleur des cas. Cela dit, l’enquête avait également montré que, malgré les remises et réductions importantes accordées par les producteurs aux grossistes, notamment depuis 2004, ces derniers ne les ont jamais répercutées sur le prix aux détaillants et donc sur le prix final, qui est resté inchangé pendant près de 3 ans. En fait les grossistes en avaient profité pour en faire un surplus de marge estimé à 300 MDH. En d’autres termes, si demain les cours mondiaux venaient à baisser et que les producteurs, dont Lesieur, décidaient de baisser leurs prix, rien ne garantit que le prix au détail reviendrait à des niveaux plus raisonnables."
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jeudi, mars 13, 2008
L'huile à 20 Dirhams
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mercredi, décembre 26, 2007
Pourquoi nous sommes sous developpés
Et nous allons le rester encore un petit peu...
Ce matin j'étais dans une banque (La BMCE) à Rabat pour récupérer un rappel de la CNSS
Voici un récit:
la moitié de l'effectif (3 personnes) sont entrain d'échanger leurs connaissances cinématographiques pour les débuts de Vandamme (serveur), Sylvester Stalone (théâtre) Arnold Schwarzi, et "la gentillesse" de Breavhaeat et la dernière phrase de sophie marceaux au creux de l'œil du Roi de l'angleterre à l'époque en lui disant "je suis enceinte mais pas de ton fils" et là mel Gibson lance son dernier cri et Cœur de lion meurt aussi...
ET moi je suis sorti à la recherche une photocopieuse (en panne à la banque) que je n'ai pas trouvé... Conclusion: j'ai été retardé pour la récupération de mon droit que l'État m'avait prélevé des Dizaines de mois auparavant et que la BMCE en a profité pour renflouer sa trésorerie pendant d'autres mois.
Et je me demande si on va se développer... un Jour
Ce matin j'étais dans une banque (La BMCE) à Rabat pour récupérer un rappel de la CNSS
Voici un récit:
la moitié de l'effectif (3 personnes) sont entrain d'échanger leurs connaissances cinématographiques pour les débuts de Vandamme (serveur), Sylvester Stalone (théâtre) Arnold Schwarzi, et "la gentillesse" de Breavhaeat et la dernière phrase de sophie marceaux au creux de l'œil du Roi de l'angleterre à l'époque en lui disant "je suis enceinte mais pas de ton fils" et là mel Gibson lance son dernier cri et Cœur de lion meurt aussi...
ET moi je suis sorti à la recherche une photocopieuse (en panne à la banque) que je n'ai pas trouvé... Conclusion: j'ai été retardé pour la récupération de mon droit que l'État m'avait prélevé des Dizaines de mois auparavant et que la BMCE en a profité pour renflouer sa trésorerie pendant d'autres mois.
Et je me demande si on va se développer... un Jour
jeudi, décembre 06, 2007
Be Rich!
C'est un groupe "the richerscales" qui veulent être des millionnaires.
Ecoutez leur histoire :)
C'est très sympa et c'est une formation des bases du web 2.0
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jeudi, octobre 18, 2007
Mabrouk! On peut Acheter En ligne.
Il entrera en vigueur à la mi-octobre, les porteurs de cartes de paiement sont éligibles.
Le processus est validé par Visa et MasterCard.
10 000 DH par an pour les achats auprès de sociétés étrangères.
Il a fallu six ans. Six ans entre la première tentative de mise en place d’un processus sécurisé de transaction par internet et le passage à l’acte. D’ici fin Ramadan, le Centre monétique interbancaire (CMI) et la société Maroc Télécommerce, pionnier en la matière, en feront l’annonce officielle : acheter et payer en ligne sera possible. Banal ! dira-t-on, d’autant que des opérations du genre ont déjà eu lieu au Maroc. Pas autant que cela, en fait. Les rares opérations qui ont eu lieu avaient trait à des achats effectués par des étrangers auprès d’entreprises locales (dont des coopératives artisanales) et toute une gymnastique technique avait été déployée pour cela. Dans d’autres cas, c’est la commande qui se fait en ligne, mais le paiement est effectué à la livraison ou à la récupération, par le client, du produit (exemple billet d’avion). Bref, le véritable commerce en ligne n’existait pas jusqu’à ce jour.
D’où l’importance du pas qui sera franchi dans deux semaines. Pour bien comprendre les opportunités offertes par ce mode de transaction, il suffit de penser que dans quelque temps, on pourra régler sa facture d’eau, d’électricité, de téléphone, par carte de paiement, sans avoir à se déplacer, ou encore remplir son panier et se faire livrer, par une enseigne de grande distribution. Les possibilités quasi illimitées. En France, le e-commerce a généré, au cours du premier semestre 2007, un chiffre d’affaires de 7,8 milliards d’euros, soit 85,8 milliards de DH, soit encore 57% des 150 milliards de DH que représente annuellement le commerce intérieur au Maroc. Et encore, l’Europe est à la traîne, au Canada par exemple, le e-commerce devrait représenter, au terme de l’année 2007, quelque 55 milliards de dollars, soit 440 milliards de DH. C’est dire, si le potentiel pour un marché vierge comme le Maroc est intéressant.
Le commerçant doit apporter la preuve en cas de contestation
Comment se fera le e-commerce au Maroc ? Concrètement, l’acheteur voulant acquérir un bien ou service proposé en ligne devra entrer son numéro de carte bancaire complet (celui figurant sur le dos de la carte) et la date de validité. Le traitement sera assuré par Maroc Télécommerce, société jouant le rôle de TPE (terminal de paiement électronique virtuel), sécurisant la transaction - donc la confidentialité du numéro de carte. La société jouera donc le rôle d’interface entre le client (acquéreur) et le Centre monétique interbancaire (l’acceptant) qui validera le débit des sommes engagées, du compte du client à celui du commerçant. Pour plus de garanties, il faut savoir que le processus a été validé par les gants de la monétique que sont Visa et MasterCard.
Fait important à signaler, aussi bien Maroc Télécommerce que le CMI ne se portent garants que pour le processus technique de la transaction (sécurisation des données, versement au commerçant) et non pas la finalité qui est celle de savoir si le produit a été effectivement commandé par le client, a été livré ou est conforme à ce qui était prévu. Que les consommateurs se rassurent cependant. Dans ces cas, c’est au commerçant, payé par les banques, d’apporter la preuve de la transaction (par exemple, voyage effectivement consommé dans le cas d’achat d’un billet d’avion, ou bon de livraison signé par le client dans le cas d’achat d’un article).
Il a fallu que les opérateurs économiques fassent pression sur les banques
Bien entendu, tout ce processus n’est pas très compliqué à mettre en œuvre, ce qui amène à poser la question suivante : Pourquoi avoir attendu tout ce temps ? Réponse simple, craignant des failles dans le processus, les banques étaient réticentes à s’y engager. Selon des sources bien informées, il a fallu que les opérateurs économiques, notamment les compagnies low cost implantées au Maroc, et dont le business model repose sur la vente de billets par internet, fassent pression, aussi bien sur le GPBM qu’au niveau des départements ministériels concernés.
Autre question importante, qui peut prétendre bénéficier de ces avantages? En fait tout ceux qui disposent d’une carte de paiement, et non pas de simple retrait (exemple Visa electron) auront accès au paiement en ligne.
Enfin, et bonne nouvelle pour les amateurs de téléchargement de musique payante, il sera également possible d’acheter en ligne auprès des entreprises étrangères. Selon des sources sûres, l’Office des changes a donné son aval pour une dépense annuelle maximale de 10 000 DH par personne. Une décision qui en étonnera plus d’un, mais qui se justifie par les chiffres. En effet, tous les Marocains ne consomment pas les 20 000 DH de devises octroyés par l’Etat pour leur voyage à l’étranger. De plus le nombre de porteurs de cartes de paiement tourne aux alentours d’un million de personnes dont la plupart ne consommeront pas d’achat à l’étranger sur internet. Conséquence : ouvrir cette possibilité n’affecte pas substantiellement le matelas de devises du pays.
source: lavieéco 5/10/07
Le processus est validé par Visa et MasterCard.
10 000 DH par an pour les achats auprès de sociétés étrangères.
Il a fallu six ans. Six ans entre la première tentative de mise en place d’un processus sécurisé de transaction par internet et le passage à l’acte. D’ici fin Ramadan, le Centre monétique interbancaire (CMI) et la société Maroc Télécommerce, pionnier en la matière, en feront l’annonce officielle : acheter et payer en ligne sera possible. Banal ! dira-t-on, d’autant que des opérations du genre ont déjà eu lieu au Maroc. Pas autant que cela, en fait. Les rares opérations qui ont eu lieu avaient trait à des achats effectués par des étrangers auprès d’entreprises locales (dont des coopératives artisanales) et toute une gymnastique technique avait été déployée pour cela. Dans d’autres cas, c’est la commande qui se fait en ligne, mais le paiement est effectué à la livraison ou à la récupération, par le client, du produit (exemple billet d’avion). Bref, le véritable commerce en ligne n’existait pas jusqu’à ce jour.
D’où l’importance du pas qui sera franchi dans deux semaines. Pour bien comprendre les opportunités offertes par ce mode de transaction, il suffit de penser que dans quelque temps, on pourra régler sa facture d’eau, d’électricité, de téléphone, par carte de paiement, sans avoir à se déplacer, ou encore remplir son panier et se faire livrer, par une enseigne de grande distribution. Les possibilités quasi illimitées. En France, le e-commerce a généré, au cours du premier semestre 2007, un chiffre d’affaires de 7,8 milliards d’euros, soit 85,8 milliards de DH, soit encore 57% des 150 milliards de DH que représente annuellement le commerce intérieur au Maroc. Et encore, l’Europe est à la traîne, au Canada par exemple, le e-commerce devrait représenter, au terme de l’année 2007, quelque 55 milliards de dollars, soit 440 milliards de DH. C’est dire, si le potentiel pour un marché vierge comme le Maroc est intéressant.
Le commerçant doit apporter la preuve en cas de contestation
Comment se fera le e-commerce au Maroc ? Concrètement, l’acheteur voulant acquérir un bien ou service proposé en ligne devra entrer son numéro de carte bancaire complet (celui figurant sur le dos de la carte) et la date de validité. Le traitement sera assuré par Maroc Télécommerce, société jouant le rôle de TPE (terminal de paiement électronique virtuel), sécurisant la transaction - donc la confidentialité du numéro de carte. La société jouera donc le rôle d’interface entre le client (acquéreur) et le Centre monétique interbancaire (l’acceptant) qui validera le débit des sommes engagées, du compte du client à celui du commerçant. Pour plus de garanties, il faut savoir que le processus a été validé par les gants de la monétique que sont Visa et MasterCard.
Fait important à signaler, aussi bien Maroc Télécommerce que le CMI ne se portent garants que pour le processus technique de la transaction (sécurisation des données, versement au commerçant) et non pas la finalité qui est celle de savoir si le produit a été effectivement commandé par le client, a été livré ou est conforme à ce qui était prévu. Que les consommateurs se rassurent cependant. Dans ces cas, c’est au commerçant, payé par les banques, d’apporter la preuve de la transaction (par exemple, voyage effectivement consommé dans le cas d’achat d’un billet d’avion, ou bon de livraison signé par le client dans le cas d’achat d’un article).
Il a fallu que les opérateurs économiques fassent pression sur les banques
Bien entendu, tout ce processus n’est pas très compliqué à mettre en œuvre, ce qui amène à poser la question suivante : Pourquoi avoir attendu tout ce temps ? Réponse simple, craignant des failles dans le processus, les banques étaient réticentes à s’y engager. Selon des sources bien informées, il a fallu que les opérateurs économiques, notamment les compagnies low cost implantées au Maroc, et dont le business model repose sur la vente de billets par internet, fassent pression, aussi bien sur le GPBM qu’au niveau des départements ministériels concernés.
Autre question importante, qui peut prétendre bénéficier de ces avantages? En fait tout ceux qui disposent d’une carte de paiement, et non pas de simple retrait (exemple Visa electron) auront accès au paiement en ligne.
Enfin, et bonne nouvelle pour les amateurs de téléchargement de musique payante, il sera également possible d’acheter en ligne auprès des entreprises étrangères. Selon des sources sûres, l’Office des changes a donné son aval pour une dépense annuelle maximale de 10 000 DH par personne. Une décision qui en étonnera plus d’un, mais qui se justifie par les chiffres. En effet, tous les Marocains ne consomment pas les 20 000 DH de devises octroyés par l’Etat pour leur voyage à l’étranger. De plus le nombre de porteurs de cartes de paiement tourne aux alentours d’un million de personnes dont la plupart ne consommeront pas d’achat à l’étranger sur internet. Conséquence : ouvrir cette possibilité n’affecte pas substantiellement le matelas de devises du pays.
source: lavieéco 5/10/07
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mercredi, octobre 10, 2007
Combien vous payer dans votre Banque
Selon la vieeco:
"... A la Banque Populaire, par exemple, le virement vers une autre agence de la banque est aujourd’hui gratuit alors qu’il coûtait 10 DH avant octobre 2006. Mis à part ce service, aucune baisse n’a été observée sur les opérations courantes pour les particuliers . A la Société Générale Marocaine de Banques (SGMB), seul le retrait avec un chèque de guichet est devenu gratuit (il coûtait 20 DH auparavant). Au Crédit du Maroc, on a supprimé les frais de virement dans la même agence et vers les agences sur place de la banque (ils étaient de 5 DH vers la même agence et 15 DH vers une autre agence avant octobre 2006). Enfin, c’est au niveau du CIH que le plus grand nombre de baisses est intervenu. Le retrait d’espèces d’une autre agence est passé d’une fourchette de 20 à 35 DH, selon le montant du retrait, à 25 DH fixes, les virements vers la même banque sont passés d’une fourchette de 10 à 20 DH, selon l’emplacement de l’agence, à 0 DH, et enfin les encaissements de chèque dans les agences hors place sont passés de 10 DH à 5 DH."
"... A la Banque Populaire, par exemple, le virement vers une autre agence de la banque est aujourd’hui gratuit alors qu’il coûtait 10 DH avant octobre 2006. Mis à part ce service, aucune baisse n’a été observée sur les opérations courantes pour les particuliers . A la Société Générale Marocaine de Banques (SGMB), seul le retrait avec un chèque de guichet est devenu gratuit (il coûtait 20 DH auparavant). Au Crédit du Maroc, on a supprimé les frais de virement dans la même agence et vers les agences sur place de la banque (ils étaient de 5 DH vers la même agence et 15 DH vers une autre agence avant octobre 2006). Enfin, c’est au niveau du CIH que le plus grand nombre de baisses est intervenu. Le retrait d’espèces d’une autre agence est passé d’une fourchette de 20 à 35 DH, selon le montant du retrait, à 25 DH fixes, les virements vers la même banque sont passés d’une fourchette de 10 à 20 DH, selon l’emplacement de l’agence, à 0 DH, et enfin les encaissements de chèque dans les agences hors place sont passés de 10 DH à 5 DH."
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