lundi, octobre 29, 2007

Ziki donne de l'argent

Ziki a mis en place un système d'ambassadeurs qui permettra à ses adeptes de gagner de l'argent.

Ziki, un des multiples outils de networking a investis dans ses propres membre en leur donnant la possibilité de gagner de l'argent en invitant d'autres personnes. C'est le programme d'ambassadeurs qui est opérationnel depuis peu et permettra de gagner jusqu'à 1,5 € par inscription.

A vous de jouer ;)

Et si j'éssayais?

"Lors d'un séminaire sur la motivation et la réussite, un invité d'honneur riche à millions qui racontait son parcours d'entrepreneur ("success story"), dit à l'assemblée : "J'ai lu ce livre... et c'est ce qui m'a permis de devenir un des hommes le plus riche du monde"..."

je partage avec vous ce site où j'ai pu apprendre pas mal de chose et il y a pas mal de book à télécharger gratuitement ;). Je ne suis pas encore millionnaire. Mais, ma khasrin walou pour essayer :) Cliquez ici

jeudi, octobre 18, 2007

Mabrouk! On peut Acheter En ligne.

Il entrera en vigueur à la mi-octobre, les porteurs de cartes de paiement sont éligibles.
Le processus est validé par Visa et MasterCard.
10 000 DH par an pour les achats auprès de sociétés étrangères.

Il a fallu six ans. Six ans entre la première tentative de mise en place d’un processus sécurisé de transaction par internet et le passage à l’acte. D’ici fin Ramadan, le Centre monétique interbancaire (CMI) et la société Maroc Télécommerce, pionnier en la matière, en feront l’annonce officielle : acheter et payer en ligne sera possible. Banal ! dira-t-on, d’autant que des opérations du genre ont déjà eu lieu au Maroc. Pas autant que cela, en fait. Les rares opérations qui ont eu lieu avaient trait à des achats effectués par des étrangers auprès d’entreprises locales (dont des coopératives artisanales) et toute une gymnastique technique avait été déployée pour cela. Dans d’autres cas, c’est la commande qui se fait en ligne, mais le paiement est effectué à la livraison ou à la récupération, par le client, du produit (exemple billet d’avion). Bref, le véritable commerce en ligne n’existait pas jusqu’à ce jour.

D’où l’importance du pas qui sera franchi dans deux semaines. Pour bien comprendre les opportunités offertes par ce mode de transaction, il suffit de penser que dans quelque temps, on pourra régler sa facture d’eau, d’électricité, de téléphone, par carte de paiement, sans avoir à se déplacer, ou encore remplir son panier et se faire livrer, par une enseigne de grande distribution. Les possibilités quasi illimitées. En France, le e-commerce a généré, au cours du premier semestre 2007, un chiffre d’affaires de 7,8 milliards d’euros, soit 85,8 milliards de DH, soit encore 57% des 150 milliards de DH que représente annuellement le commerce intérieur au Maroc. Et encore, l’Europe est à la traîne, au Canada par exemple, le e-commerce devrait représenter, au terme de l’année 2007, quelque 55 milliards de dollars, soit 440 milliards de DH. C’est dire, si le potentiel pour un marché vierge comme le Maroc est intéressant.

Le commerçant doit apporter la preuve en cas de contestation
Comment se fera le e-commerce au Maroc ? Concrètement, l’acheteur voulant acquérir un bien ou service proposé en ligne devra entrer son numéro de carte bancaire complet (celui figurant sur le dos de la carte) et la date de validité. Le traitement sera assuré par Maroc Télécommerce, société jouant le rôle de TPE (terminal de paiement électronique virtuel), sécurisant la transaction - donc la confidentialité du numéro de carte. La société jouera donc le rôle d’interface entre le client (acquéreur) et le Centre monétique interbancaire (l’acceptant) qui validera le débit des sommes engagées, du compte du client à celui du commerçant. Pour plus de garanties, il faut savoir que le processus a été validé par les gants de la monétique que sont Visa et MasterCard.

Fait important à signaler, aussi bien Maroc Télécommerce que le CMI ne se portent garants que pour le processus technique de la transaction (sécurisation des données, versement au commerçant) et non pas la finalité qui est celle de savoir si le produit a été effectivement commandé par le client, a été livré ou est conforme à ce qui était prévu. Que les consommateurs se rassurent cependant. Dans ces cas, c’est au commerçant, payé par les banques, d’apporter la preuve de la transaction (par exemple, voyage effectivement consommé dans le cas d’achat d’un billet d’avion, ou bon de livraison signé par le client dans le cas d’achat d’un article).

Il a fallu que les opérateurs économiques fassent pression sur les banques
Bien entendu, tout ce processus n’est pas très compliqué à mettre en œuvre, ce qui amène à poser la question suivante : Pourquoi avoir attendu tout ce temps ? Réponse simple, craignant des failles dans le processus, les banques étaient réticentes à s’y engager. Selon des sources bien informées, il a fallu que les opérateurs économiques, notamment les compagnies low cost implantées au Maroc, et dont le business model repose sur la vente de billets par internet, fassent pression, aussi bien sur le GPBM qu’au niveau des départements ministériels concernés.

Autre question importante, qui peut prétendre bénéficier de ces avantages? En fait tout ceux qui disposent d’une carte de paiement, et non pas de simple retrait (exemple Visa electron) auront accès au paiement en ligne.

Enfin, et bonne nouvelle pour les amateurs de téléchargement de musique payante, il sera également possible d’acheter en ligne auprès des entreprises étrangères. Selon des sources sûres, l’Office des changes a donné son aval pour une dépense annuelle maximale de 10 000 DH par personne. Une décision qui en étonnera plus d’un, mais qui se justifie par les chiffres. En effet, tous les Marocains ne consomment pas les 20 000 DH de devises octroyés par l’Etat pour leur voyage à l’étranger. De plus le nombre de porteurs de cartes de paiement tourne aux alentours d’un million de personnes dont la plupart ne consommeront pas d’achat à l’étranger sur internet. Conséquence : ouvrir cette possibilité n’affecte pas substantiellement le matelas de devises du pays.

source: lavieéco 5/10/07

vendredi, octobre 12, 2007

La nouvelle sélection d'el Fassi 2007 (finale)

Le Nouveau Gouvernement Marocain, l'alternance sur le poste du "Ministre d’Etat sans Porte Feuille"

En voici la composition:

- M. Abbas El Fassi : Premier ministre.

- M. Mohamed El Yazghi : ministre d'Etat.

- M. Abdelwahed Radi : ministre de la Justice.
- M. Chakib Benmoussa: ministre de l'Intérieur.
- M. Taieb Fassi Fihri: ministre des Affaires étrangères et de la coopération.
- M. Ahmed Toufiq: ministre des Habous et des affaires islamiques.
- M. Abdessadek Rabiî: Secrétaire général du gouvernement.
- M. Mohamed Saad Alami: ministre chargé des relations avec le Parlement.
- M. Salaheddine Mezouar: ministre de l'Economie et des finances.
- M. Karim Ghellab: ministre de l'Equipement et du transport.
- M. Ahmed Taoufiq Hejira: ministre de l'Habitat, de l'urbanisme et de l'aménagement de l'espace.
- M. Mohamed Boussaid: ministre du Tourisme et de l'artisanat.
- Mme Amina Benkhadra : ministre de l'Energie, des mines, de l'eau et de l'environnement.
- Mme Yasmina Baddou : ministre de la Santé.
- Mme Nawal El Moutawakil: ministre de la Jeunesse et des sports.
- M. Aziz Akhenouch: ministre de l'Agriculture et de la pêche maritime.
- M. Ahmed Akhchichine: ministre de l'Education nationale, de l'enseignement supérieur, de la formation des cadres et de la recherche scientifique.
- M. Khalid Naciri : ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement.
- M. Jamal Aghmani: ministre de l'Emploi et de la Formation Professionnelle.
- M. Ahmed Chami: ministre de l'Industrie, du Commerce et des nouvelles technologies.
- M. Abdellatif Maâzouz : ministre du Commerce extérieur.
- Mme Nouzha Skalli : ministre du Développement social, de la famille et de la solidarité.
- Mme Touriya Jabrane : ministre de la Culture.
- M. Abderrahmane Sbaï : ministre délégué auprès du Premier ministre, chargé de l'Administration de la Défense nationale.
- M. Nizar Baraka : ministre délégué auprès du Premier ministre, chargé des affaires économiques et générales.
- M. Mohamed Abbou : ministre délégué auprès du Premier ministre, chargé de la modernisation des secteurs publics.
- M. Mohammed Ameur : ministre délégué auprès du Premier ministre, chargé de la Communauté Marocaine résidant à l'étranger.
- M. Abdelkébir Zahoud : Secrétaire d'Etat auprès du ministre de l'Energie, des mines, de l'eau et de l'Environnement, chargé de l'eau et de l'environnement.
- M. Anis Birou : Secrétaire d'Etat auprès du ministre du tourisme et de l'Artisanat, chargé de l'artisanat.
- M. Saad Hassar: Secrétaire d'Etat auprès du ministre de l'Intérieur.
- Mme. Latifa Labida: Secrétaire d'Etat auprès du ministre de l'Education nationale, de l'enseignement supérieur, de la formation des cadres et de la recherche scientifique, chargé de l'enseignement scolaire.
- M. Ahmed Lakhrif : Secrétaire d'Etat auprès du ministre des Affaires étrangères et de la coopération.
- Mme Latifa Akherbach : Secrétaire d'Etat auprès du ministre des Affaires étrangères et de la coopération.
- M. Abdeslam Al Mesbahi: Secrétaire d'Etat auprès du ministre de l'Habitat, de l'urbanisme et de l'aménagement de l'espace, chargé du développement territorial.

mercredi, octobre 10, 2007

Combien vous payer dans votre Banque

Selon la vieeco:
"... A la Banque Populaire, par exemple, le virement vers une autre agence de la banque est aujourd’hui gratuit alors qu’il coûtait 10 DH avant octobre 2006. Mis à part ce service, aucune baisse n’a été observée sur les opérations courantes pour les particuliers . A la Société Générale Marocaine de Banques (SGMB), seul le retrait avec un chèque de guichet est devenu gratuit (il coûtait 20 DH auparavant). Au Crédit du Maroc, on a supprimé les frais de virement dans la même agence et vers les agences sur place de la banque (ils étaient de 5 DH vers la même agence et 15 DH vers une autre agence avant octobre 2006). Enfin, c’est au niveau du CIH que le plus grand nombre de baisses est intervenu. Le retrait d’espèces d’une autre agence est passé d’une fourchette de 20 à 35 DH, selon le montant du retrait, à 25 DH fixes, les virements vers la même banque sont passés d’une fourchette de 10 à 20 DH, selon l’emplacement de l’agence, à 0 DH, et enfin les encaissements de chèque dans les agences hors place sont passés de 10 DH à 5 DH."